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De la zoologie selon Léonard de Vinci…

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Pour ce second Carnet d'images, pas de chevaux écumants de la bataille d'Anghiari, nul agneau du tableau de la Sainte Anne, pas un chat croqué sur le vif à l’origine de notre démarche. 

Ici, ce que nous mettons en regard - au sens propre du terme - des images de nos fonds anciens, ce sont les écrits de Léonard de Vinci : les observations issues de ses travaux d’anatomie, des notes sur le vol des oiseaux, des aphorismes à portée plus spirituelle que scientifique, des fables… Car Léonard de Vinci n’a pas été seulement le savant et le peintre que l’on connaît, il fut aussi un conteur, un fabuliste, un homme de cour qui se devait de briller et de séduire.
Le charme de cette écriture opère encore, cinq siècles plus tard, et malgré le filtre de la traduction.

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« Figure ici le pied de l’ours, du singe et d’autres animaux, pour autant qu’ils diffèrent du pied de l’homme ; et ajoutes-y aussi la patte de certains oiseaux »

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